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Formé en linguistique informatique puis en phonétique expérimentale, j’ai aujourd’hui la conviction que le premier rôle des acteurs en humanités numériques est de fluidifier le passage au numériques des pratiques historiques des sciences humaines et sociales.
Pour ce faire, il me paraît important de pratiquer une veille rigoureuse afin de proposer les solutions les plus adaptées possibles en visant la pérennité. Le second rôle est sans doute de faire apparaître des formes de recherche inédites et de faciliter l’exploitation de nouvelles données. C’est pour rendre possibles ces cheminements qu’il me paraît nécessaire d’être à l’écoute de celles et ceux qui font la recherche avant même le début de la formalisation d’un projet.